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 Alexander Matthew Oliver

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Alexander Oliver
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MessageSujet: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 17:14

  • I. VOS PAPiiERS S'iiL VOUS PLAiiT*

    Nom & Prénom : Alexander Matthew Oliver

    Date & Lieu de naissance : Né à Londres. Tout ce qu’il sait, c’est qu’il est né il y a 17 ans de cela, la date lui reste inconnue. Probablement en Novembre.

    Job/Classe : Vagabond en attente de son admission à l’Université.

    Signe(s) particulier(s) :

    Groupe : >They Survive.<

    Avatar : Mitch Hewer


    II. EN SAVOiiR UN PEU PLUS SUR VOUS*

    Histoire (15 lignes minimum) :
    Son souffle commençait à lui manquer, ses jambes pouvaient lâcher à tout moment. Et pourtant, il continuait à courir, jusqu’à ce que ses veines battent de l’acide, faute de sang oxygéné. Sa vue se troublait, sa conscience allait le trahir. Il n’allait plus tenir longtemps, mais les caractères physiques n’empêcheraient sa volonté de le mener jusqu’au bout. Dans une douleur disproportionnée par la fatigue et l’effort, son pied tapa une dalle mal placée qui l’obligea à s’étaler de tout son long, contre le pavé froid et ruisselant de cette ruelle d’automne. « Relève toi… Allez, debout… RELÈVE TOI BORDEL ! »
    Entre les larmes et le pluie, il n’y avait de différence, coulant toutes les deux le long de son visage exténué, se mêlant au sang s’était échappé de son nez pour laisser de sombres tâches vermeilles au sol avant que ces dernières ne soient emportées par le courant de l’eau, passant son chemin sur la ruelle assombrie par les nuages. Ses forces l’avaient totalement abandonné. La seule chose qui pouvait faire en sorte que ses jambes tiennent encore sous son poids, c’était sa détermination.
    Et quoiqu’il fasse, qu’il pleure, qu’il grogne, qu’il hurle, elle ne semblait décidée à l’aider à se relever. Il ne pouvait se reposer, il n’en avait pas le droit, même si ce court temps de répit lui était accordé, voire obligé, il ne fallait pas qu’il abandonne. Doucement, sa respiration reprit un rythme qu’on pourrait classer comme « normal » bien qu’elle se faisait encore difficile et pesante. Sa vue était troublée par la pluie, les larmes, la fatigue et l’odeur du sang, coulant toujours, n’ayant apparemment pas l’intention de s’arrêter. Même ses doigts ne répondaient plus à ses tentatives désespérées. Il ne pouvait rester ici plus longtemps. Il fallait qu’il se lève. Maintenant. Dans un effort qui lui parut surhumain, il traîna sa main jusqu’à la hauteur de son épaule pour s’aider à se hisser sur un genou dans les dernières forces qui allaient finir par le quitter. Vous devez sûrement connaître cette sensation… Vos pieds sont engourdis, vos mains tremblantes, de froid et de tension avant qu’une vague énergique ne vous aide à vous relever, subitement. Lorsqu’on pense que c’est la fin, qu’aucune autre aide à part la volonté ne pourra vous aider à avancer, il y a toujours les réserves presque intouchables d’énergie qui font surface, pour vous sauver la vie ou celle des autres. L’être humain n’use que 20% de sa force. A cet instant, le jeune homme de 14 ans, a dépassé cette limite pour enfin se mettre debout et reprendre sa course, sans pour autant se poser des questions sur le pourquoi de cette poussée de forces renouvelées. Son pas lourd se changea bientôt en de grandes foulées bien que non facilitées par le temps, la pluie et le vent semblant jouer contre lui. Il allait y arriver. Il y était presque.
    Comme à l’habitude, la porte grinçait. Et comme à l’habitude, les jours d’orage, la lumière n’existait pas dans le petit studio, sauf lors des rapides éclairs blancs, n’illuminant les deux pièces qu’une courte seconde. Derrière le garçon, la porte claqua, lui laissant s’échapper un frisson le long de la colonne vertébrale, insupportablement agréable si cela avait été dans d’autres conditions que cet endroit lugubre qui lui servait d’habitat.

    - Tu es enfin là ?

    Dans un anglais parfait bien que tremblant, le jeune homme répondit à cette voix masculine si connue et si appréciée :

    - Qu’est-ce qui s’est passé ? Pourquoi ce coup de fil ? Comment va notre père ?


    Un rire léger se fit entendre, un rire sentant l’alcool. Le bruit d’une bouteille se brisant pour laisser le liquide puant plus que le sang se déverser sur la moquette sombre.
    Ses souvenirs ne sont précis, ce que je vais vous raconter l’est : L’homme en question n’était autre que son frère et se dirigea vers le jeune homme tremblant de tout son être à l’entente de ce rire glacial dans un sourire au sadisme prononcé, sentant en effet l’alcool et l’envie. Il n’était qu’à quelques centimètres de lui lorsqu’il se posa à genoux pour frotter son nez contre sa ceinture, toujours dans ce même rire, en rien ébranlé par la respiration affolée de l’enfant.

    - Tu en crèves d’envie, pas vrai ?

    J’espère pour vous que cette sensation-ci, vous ne l’avez jamais éprouvé. Sa force récemment retrouvée l’abandonna soudainement, sa volonté se brisa alors qu’il croisa de nouveau le regard assoiffé de celui qu’il avait tant vénéré. Ses jambes allaient de nouveau lâcher, son souffle avait peine à se faire sentir. Il avait froid. Il avait peur. Et il ne pouvait rien y faire. Ses poignets furent pris au piège alors que son dos cogna durement le sol, lui arrachant un spasme de douleur le long de ses membres engourdis ainsi qu’un soupir d’impuissance.
    Un nouveau grincement. Significatif. Un grincement qui voulait dire qu’il allait être sauvé. Dans un dernier effort, les larmes aux yeux, partagé entre la joie de le savoir ici, maintenant et la peur constante, il fixa de ses yeux dorés par les larmes la silhouette de l’homme qui venait de pousser la porte. D’une voix presque rassurée, il supplia dans un sourire soulagé :

    - Père…

    Une détonation. Une seule détonation. Il eut fallu que ce bruit lui claque dans les oreilles pour qu’il sache que sa vie était foutue. L’odeur du sang se fit grandissante, s’amplifiant chaque seconde. Son sourire avait disparu, seul régnait sur son visage blanchi par la peur une expression d’horreur intense, une terreur qu’il n’avait connue qu’une fois au cours de sa courte existence.
    Il ne put retenir un hurlement. Un hurlement glacial, où se déversait toute sa douleur physique comme mentale. Un hurlement tentant comme il pouvait de détruire ce nœud au creux du ventre. Un hurlement qu’il poussa jusqu’à ne plus avoir de voix, jusqu’à ne plus avoir de souffle, jusqu’à perdre l’Espoir. Jusqu’à perdre l’envie même de vivre. Même lorsque sa voix ne répondait plus, il continuait de souffler, de pleurer, ne tentant même pas de retenir la morve au nez, se débattant pour se libérer de cette étreinte malsaine. Il continua aussi longtemps qu’il pouvait… Ce fut une brûlure au niveau de la tempe qui l’arrêta dans son délire maladif. Le taré lui servant de grand frère, voulant finir sa besogne en paix, avait pointé le canon encore brûlant du revolver ayant servi à se débarrasser du père contre cette tempe jusqu’à l’y coller et y entendre le grésillement des cheveux cramant et l’odeur bestiale de la peau brûlée.
    La fatigue. La douleur. Le noir.

    - S’il vous plait, j’aurai juste besoin que vous disiez quelques mots… Je ne peux rien pour vous si vous ne vous décidez pas à me parler. Cela va faire 4 séances que vous ne dîtes rien.

    - Et ô combien de fois je vous ai précisé que si vous vouliez savoir ce qui se passe dans ma tête, il allait falloir vous renseigner auprès de mon précédent psychologue?

    - J’aimerais entendre votre histoire et vos problèmes venant de vous, non d’un collègue.

    Dans un soupir prononcé et non caché, exprimant en quelques secondes toute la lassitude et l’ennui que lui inspirait cet entretien, le jeune homme de 17 ans fit savoir à l’homme tentant d’en savoir plus sur lui qu’il ne désirait en aucun cas lui parler. Et le psychologue présent n’avait rien d’un idiot, comprenant parfaitement cet appel au silence.

    - Pourquoi venez-vous ici ?

    - Parce que j’y suis obligé.

    - Et qui vous y oblige ?

    - La seule femme qui compte pour moi.

    - Et qui est-elle ?

    D’un coup d’œil furtif et mauvais, il regarda les yeux intéressés de son psychologue qui avançait petit à petit dans l’observation de son patient. S’il continuait comme ça, il allait enfin savoir son passé.

    - Ma tante.

    - Je vois… Et en quoi vous est-elle aussi importante ?

    - Sans elle, je me serais déjà tué.

    Bien que cet homme semblait voir des cas similaires chaque jour, il ne put s’empêcher d’être plus particulièrement intéressé par ce client au regard sombre et vide, profond et expressif, semblant ressasser ses souvenirs sans les repousser.

    - Je ne me souviens pas de ma mère. Mais je sais qu’elle est morte à mes 5 ans. Quant à mon père…

    Le silence qui régna encouragea le jeune homme à continuer son récit pour le moins rapide et résumé, prouvant que l’homme l’écoutant était quelqu’un de respectueux et qu’il pensait la même chose de lui.

    - …C’est mon frère qui s’en est chargé, d’une balle.

    - Qui était-il pour vous?

    - Mon frère ? L’homme que j’aimais le plus au monde. Je… Je…

    Un nouveau silence. Qui dura plus longtemps que le précédent, laissant le temps au jeune homme d’écouter d’une oreille distraite l’habituel ronron des voitures de Londres en fin d’après-midi. Cela faisait plus d’un quart d’heure que ce silence se prolongeait. Et cela faisait déjà dix bonnes minutes que la séance était censée prendre fin. C’est donc sur cet argument qu’il se leva, s’inclina, attrapa sa veste longue et passa le pas de la porte de rapides foulées.

    - Je suis rentré !

    - Aah, enfin. J’ai reçu un appel de ta nouvelle école… Tu es accepté ! Je leur ai envoyé ton dossier, et ils n’ont apparemment pas hésité !

    Bien qu’affairé à ouvrir les quelques lettres qui lui étaient adressées, il répondit d’un faible grognement avant que sa voix ne redevienne humaine :

    - Où est cette école, déjà ?

    - A Seattle.

    Dans un mouvement lassé, il jeta les morceaux de papiers qu’il avait pris soins de déchirer dans la corbeille qui paraissait prévue à cet effet et pris congé, se dirigeant vers la porte de sa chambre, au deuxième étage, sans même adresser le moindre regard à sa tante. La jeune femme était d’un brun auburn, toujours souriante et aimable, serviable et attentive. C’est donc dans un faible sourire qu’elle suivit des yeux le jeune homme traîner des pieds dans les escaliers jusqu’à ce qu’il disparaisse de sa vue pour retourner à la préparation du dîner, dîner auquel il ne sera présent, évidemment.

    D’un geste las, il se débarrassa de sa veste pour la poser sur le dossier de l’unique chaise de la chambre et passa un œil sur ses notes de la veille, mélangeant partitions, paroles et dessins divers. Un bordel sans nom et qui pourtant, aux yeux du garçon, avait une signification très particulière et claire. Mais pour le moment la fatigue et la lassitude, ses deux meilleures amies (et sûrement ses seules), l’empêchaient de réfléchir correctement, l’obligeant à aller s’effondrer sur son lit.
    Le plafond était blanc… Comme celui de sa maison…

    - Pitié, épargnez-le… Epargnez-moi…

    - Ca fait beaucoup d’épargnés, non ?

    - Je vous en supplie…

    Le canon se braqua et cracha sa détonation. Et la jeune femme d’environ 25 ans s’écroula, sans vie, au milieu de son propre sang. Cette voix si douce s’était éteinte alors que le crissement unique de la lame se glissant dans son fourreau se faisait entendre. L’homme au revolver baissa les yeux sur le corps inanimé, gisant à ses pieds, pour ensuite se diriger vers le jeune garçon tremblant, assis contre un mur, fixant de ses deux yeux affolés cette silhouette imposante. Il avait été impuissant… Arrivé à environ un mètre de l’enfant de 5 ans, il s’accroupit pour se mettre à sa hauteur, cherchant son regard doré avant de lever les yeux:

    - J’ai même sali le plafond…

    Après un court silence durant lequel le petit put reprendre un rythme de respiration régulier, la voix grave reprit :

    - Ta mère l’avait mérité. Je suis désolé d’avoir fait ça devant toi… Alex.


    L’Alex en question ouvrit les yeux. Il n’avait pas bougé de son lit. C’était ses souvenirs qui étaient revenus à lui. Jamais il ne s’était souvenu de ce qui s’était passé cette nuit-là. Peut-être que c’était mieux ainsi, ne pas le traumatiser plus que ça. Bien entendu, ce rêve qui vient de prendre fin revient le hanter près d’une fois par semaine, mais s’efface de sa mémoire à peine ouvre-t-il les yeux. Vous savez, ce genre de rêve dont vous n’arrivez pas à vous rappeler ? Et bien chez lui, se sont ses pires souvenirs.

    - Je vous écoute.

    Comme à sa détestable habitude, le psychologue s’installa le plus confortablement possible dans son fauteuil, s’y prenant à deux fois, comme voulant dire : « Ca va être long et chiant, mieux vaut être prêt ». Comment voulez-vous vous lancer dans de pareilles conditions ? C’est donc dans un bel effort, dépassant sa misanthropie, qu’Alex desserra les dents et commença à narrer une partie de son histoire :

    - Après la mort de ma mère, mon père a perdu toute sa fortune. Elle était mannequin, il était chômeur. Vous savez, les asiatiques à New York sont très demandés.

    - Vous étiez en Amérique ?

    - Oui, c’est là-bas qu’elle a rencontré mon père. J’y suis né et j’ai grandi là-bas, avec mon grand frère, de 4 ans de plus que moi. Soit, nous avons vécu dans la misère durant quelques années. La seule chose dont il était fier, c’était de moi et de mon intelligence. Alors il a demandé à sa sœur une aide financière pour me payer des cours de langues, de littérature, de sciences, de mathématiques. Toutes ces matières me furent enseignées par un seul professeur. Deux ans avant la mort de mon père, je suis allé vivre chez sa sœur, à quelques kilomètres du studio de mon père avec lequel vivait mon frère, qui a travaillé mon éducation sociale, étant mariée à un aristocrate. Et puis… Un jour j’ai reçu un coup de fil de la part de mon frère, disant que mon père était terriblement malade.

    Il ne voulait pas parler de son viol. Sa vie et ses souvenirs n’appartiennent qu’à lui…

    - Je suis rentré en Angleterre après sa mort, avec ma tante.

    - Euh… Vous m’aviez dit lors de la séance précédente que votre père s’était fait assassiné. Qu’en est-il advenu de son meurtrier?

    - … Il n’est plus…

    Et pour la deuxième fois depuis qu’il avait ce psy, sa voix s’était fait hésitante, moins assurée…

    Tout ne s’est pas passé comme prévu par la suite. Comme si la malchance planait au-dessus de lui, une fois arrivé à Seattle, il apprit que sa candidature fut rejetée à cause de son jeune âge et qu’il y avait eu erreur sur le courrier envoyé. En attendant la prochaine année, il erre dans la ville, cherchant où dormir et comment manger grâce à quelques services rendus ici et là.



    [...]


Dernière édition par Alexander Oliver le Dim 16 Nov - 17:15, édité 1 fois
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Alexander Oliver
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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 17:14

  • Caractère (10 lignes minimum) : Après ce que vous venez de lire, le caractère d’Alex pourrait être classé directement dans la catégorie : « Froid, distant, misanthrope ». Détrompez vous. Ce tempérament n’apparaît que lorsque la personne en face de lui essaye de lui soustraire des infos sur sa vie privée, assez difficile pour ne pas avoir à en parler plus que ça. A ce moment là, il se braque et sait vraiment être désagréable, voire pourrait faire peur. En réalité, et malgré tout ce qu’il a vécu qui pourrait aboutir à deux choses : soit être endurci, soit être traumatisé, il reste quelqu’un de normal. Normal ? Oui, même avec un passé pareil, il sait sourire, il sait rire, il sait profiter. Toujours de bonne humeur même contre ceux qui le traite de tous les noms parce qu’il est « différent ». Jamais il ne cherchera à faire du mal à quelqu’un ou lui tenir tête si cela n’implique le peu qu’il a comme amis ou son passé. Car, comme précisé plus haut, ce qu’il a vécu doit rester intouchable, étant pour lui encore plus précieux que son propre honneur. En tant normal, donc, Alex est quelqu’un d’attachant, toujours souriant, agréable à vivre, jamais trop présent ni trop absent. Un ange. Un véritable ange.

    Quelque(s) chose(s) à ajouter? : Je ne trouvais pas où le mettre alors je vais le caser ici. Sa première expérience ayant été avec son frère, il restera sur cette voix. Non, il ne continuera pas à coucher avec son frère voyons… Mais il est homosexuel, et ce pour longtemps.


    III. RELATiiONSHiiP*

    Vos relations: Ses relations avec sa famille n’existent plus, puisque sa famille n’est plus. Il ne lui reste que sa tante, et éventuellement quelques bons amis en Angleterre. Mais parlons plutôt de sa tante, qui est quelqu’un de très précieux pour lui. Elle l’a toujours soutenu dans ses pires crises dues à ses souvenirs refoulés, ou même dans des dilemmes devenus difficiles à résoudre pour le jeune blond. Il va être difficile pour lui de l’oublier, c’est à peine si l’idée de perdre de vue ne serait-ce qu’une fois le souvenir lui rappelant son visage ne lui était venu à l’esprit. Jamais il ne l’oubliera car il ne le désire pas. Chaque jour, s’il trouve de quoi écrire et payer son timbre, il lui envoie une lettre, la remerciant presque à chaque fois pour ce qu’elle a fait de lui. Cette lettre ne lui est jamais rendue. Faute d’habitat, et de tante. Celle-ci s’est suicidée après son départ, son seul but dans la vie étant d’avoir élevé cet enfant.
    Sinon, un ajout rapide et je pense inutile, mais c’est toujours bon à savoir : Alexander était le nom de son père, et Matthew celui de son frère.



    IV. TOUJOURS PLUS*

    Chanson préférée? : Santa Monica - Theory of a Deadman
    Film préféré? : Brokeback Mountain
    Livre préféré? : Sodome et Gomorrhe
    Endroit préféré? : Le toit d’un immeuble sous la pluie.
    Votre plus grande peur? : Tomber.
    Un secret? : Il adore dormir avec des chaussettes.


    V. DERRiiERE VOTRE CLAViiER*

    Prénom/Pseudo : Klo, Julie Burberry…

    Age : 18 ans, si je me souviens bien ><

    Pays : La France !

    Comment as-tu connu le forum? : Bouaaaf, vous devez savoir pourquoi x3

    Pourquoi ce forum? Ce perso? : O.O Question piège… Euh, parce que je vénère ce type et que j’aime toujours autant le fow =3

    Multi-Compte? : Bah vi --‘

    Nombres de jours présent sur le forum /7 : Je tape dans les 7/7 !

    Niveau de RP /10 : J’ai retrouvé un vieux rp, du temps où je savais encore écrire 8D :

    Il pleuvait... Ses pas plus ou moins rapides éclaboussaient le bas de son pantalon d'une eau noircie par la saleté déposée sur les trottoirs de la ville sombre, à cette heure-ci. La pluie ne gênait le jeune homme, étant particulièrement sensible au soleil, mais cette fine pluie martelant de façon désagréable son visage d'une douceur voire insupportable. Soit une grosse pluie amenant l'orage, mais pas de ce petit crachin n'avait rien qui l'attirait. Si ce temps n'avait été présent, il serait rentré jusqu'au pensionnat à pieds. Malheureusement, "on" l'en empêchait. Au bout de quelques minutes de marche s'accélérant suivant l'impatience du garçon encapuchonné, des escaliers descendant... Le métro. Sans plus hésiter, ralentissant ses pas de peur de glisser sur les marches humides, Ren s'y engagea jusqu'à ne plus sentir la pluie battre sa veste, jusqu'à ne plus entendre les gouttes marteler le béton à présent au-dessus de sa tête.
    Le vent était silencieux, n’était plus omniprésent comme à l’extérieur, apportant peut-être un léger confort par rapport à la chaleur agréable installée dans le souterrain. D’une main, il enleva sa capuche sans prendre soin de recoiffer ses cheveux blonds en désordre, les yeux fixés vers le guichet vendant les tickets, avec lequel il était séparé de deux personnes. Lorsque ces derniers eurent fini, ce fut son tour. Rapide et efficace. Pas assez rapide pourtant apparemment. Alors qu’il remercia la femme s’occupant dudit guichet d’une voix enrouée par son silence, il entendit les rames souterraines s’ébranler. Dans un sprint sans nom, il courut pour se rapprocher du quai, en étant séparé de deux escaliers. Une fois ces derniers descendus, il voyait devant lui le grand ver de fer. De nouveau, il s’élança avant que les portes ne se referment sous les yeux indifférents du peu de personne étant à l’heure qui le regardèrent donc retirer sa main qui se serait trouvée en mauvaise état s’il l’avait laissée plus longtemps entre les deux portes…

    Dans un juron, il regarda quelques sourires s’afficher sur ceux présents dans le métro, ravis de leur situation de " supériorité " envers le garçon resté seul sur le quai. Il attendit deux minutes, assis d’un air peu digne sur un des sièges miteux du souterrain jusqu’à ce qu’un nouveau grondement s’élève de la cavité sombre s’étendant à sa gauche. Dans un trait de lumière, le métro fit son apparition, pour venir s’arrêter lentement mais sûrement le long de la voie. Il ouvrit la porte et fut le seul à entrer dans ce compartiment, si ce n’est le seul de la voie à monter dedans. Il entendit un bip sonore puis les portes se refermer alors qu’il se tenait debout, seul. Encore et toujours seul. Il n’avait regardé le wagon, n’avait passé même un léger coup d’œil pour savoir qu’il n’était seul. Il s’en moquait après tout… La seule chose qui l’importait, c’était de savoir si le pensionnat allait lui ouvrir ses portes pour qu’il y passe la nuit, comme toutes les nuits d’ailleurs. Pouvait-il y rentrer si tard ? Il n’avait le choix, à vrai dire. Il n’avait l’argent qui lui permettrait de se payer une nuit dans un hôtel… Il n’avait d’argent du tout d’ailleurs.
    Alors qu’il y pensait, inquiet de son sort, n’ayant même pas compris le fait que la pression qu’exerçait sa main sur la barre métallique censée le retenir de tomber sur une secousse avait cessé d’être aussi forte qu’il ne le fallait. La secousse en question, la vicieuse secousse fit son " apparition ", lui faisant perdre l’équilibre. Heureusement (ou malheureusement), un bras vint l’aider à se soutenir et rester debout. Dans un léger murmure, on lui précisa de ne pas tomber… Il n’en avait pas l’intention, vraiment pas.


    - Merci.

    Son regard ne croisa que légèrement celui de son sauveur, assez pour entrevoir un œil couleur de feuille de lys particulièrement expressif ainsi qu’un sourire amical. Un œil. Il resta de dos, probablement gêné par l’arrivée soudaine de cet inconnu, ne voulant pas montrer le fait qu’il rougissait légèrement par cette venue inattendue. Pourquoi l’avait-il aidé ? Ca, Ren trouvait ça normal, il aurait fait la même chose… Mais peut-être avec moins de réflexe et de rapidité. Donc, il était derrière lui ? Depuis combien de temps ? Il fallait avouer que c’était déstabilisant. Devait-il se présenter ? Que devait-il faire tout court ? Peut-être que rester de dos n’était très poli… Pour le moment, il s’en contenta, ne cherchant pas un contact plus rapproché dépassant le juste stade de la reconnaissance avec ce jeune homme au terrible regard.


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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 18:55

Waouh! C'est....c'est tellement, ...WAOUH!
Je n'ai pas de mot, je n'ai jamais vu une présentation aussi longue et aussi attachante, dès que j'ai vu qu'elle était en deux parties, je me suis dis "waaah, lis ça, tu regarderas ton drama après", wah ça dépasse les dramas là xD
En plus tu vas t'amuser non ? Yaoi...homosexuel...xD
Je suis pressée de jouer avec ton perso, même si je me sens minable coté jeu ces derniers temps (surtout face à toi), mon perso et le tien pourrait s'entendre, vu leur passés je veux dire^^

PS: Validée xD
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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 19:23

*sifflote* Tu trouves qu'il y a un lien entre yaoi et homosexualité, toi? x'3
C'est gentil tout ce que tu as dit sur ma près =3
On pourra rp ensemble avec ce perso si tu veux! (Mais c'est pas minable ton jeu, t'as pas fini de dire des conneries ><)
Merci pour m'avoir validé(e) XD
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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 19:49

ralala et si vous arretiez toute les deux de dire que votre jeu est minable??? Pasque promis les deux c'est très bien!^^

Bon bah rebienvenu!
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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 19:59

Merci merci =3
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Citation: 'Autrefois, quand on avait un secret que l'on ne voulait confier à personne, on allait dans la montagne creuser un trou dans le tronc d'un arbre pour y chuchoter son secret. Puis on rebouchait le trou avec de la terre alors le secret était bien gardé pour l'éternité.' [ 2046 ]

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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 20:19

Julie, Alex, Klo >> ben le yaoi c'est pas une relation homosexuelle entre deux gars un peu effémines ? Je sais pas j'y connais rien xD

Chad >> Ouh merci rougis

Bon on va pas flooder, re-bienvenue ! xD
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Julia Carmichael
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Citation: « Il n'y a pas de hasard... il n'y a que des rendez-vous qu'on ne sait pas lire. »

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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitimeDim 16 Nov - 21:32

    Alors comme ça on oublie de valider le code? Non mais je vous jure Rolling Eyes

    Re-bienvenue ma Juju, et magnifique présentation en passant! j'avoue que j'ai pas le temps de la lire là mais je me rattraperais samedi prochain ^^
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MessageSujet: Re: Alexander Matthew Oliver   Alexander Matthew Oliver Icon_minitime

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